Départ dans une semaine. Premier appart toute seule. Stage. Et après?...
krokette
Dream as if you'll live forever, live as if you'll die today.
Samedi 2 février 2008 à 16:53
Départ dans une semaine. Premier appart toute seule. Stage. Et après?...
Dimanche 27 janvier 2008 à 14:08
Dimanche 13 janvier 2008 à 13:13
Plutôt une ouverture au débat et un point de départ à la réflexion qu'un texte à prendre entiérement au premier degré, l'auteur n'a quand même pas complétement tord à mon avis...
"Homo sapiens est la pire espèce invasive. Tant que la flore et la faune poursuivront leur rythme effréné d'extinction conférée, toute création supplémentaire d'un d'entre nous reste injustifiable. [...] Sans peur ni reproche du métissage, le renouvellement des générations des pays développés devra se faire par les immigrants. Mais si vous estimez que nous n'avons aucune responsabilité ni vis-à-vis des 11 millions d'enfants qui meurent chaque année avant d'atteindre leur cinquième anniversaire, ni à l'endroit des espèces végétales et animales qui disparaissent à la vitesse grand V, que notre reproduction n'est pas excessive ou en tout cas acquittée de telles accusations, alors oui, faites encore et encore des enfants. Mais faites vite !
Certaines vérités ne dérangent plus parce qu'avec le temps elles sont devenues des tabous de Polichinelle. Parmi celles qui dérangent encore et vraiment, qui mettent mal à l'aise et gênent aux entournures, figure l'ineffable choix antinataliste. [...] Suggérer de modérer la démographie d'un Monde en proie à la surpopulation semble relever de l'outrage, de l'infamie, tant le thème appartient à la langue de bois. [...] En augmentant de 4 milliards, la population planétaire a triplé depuis 1950. Stop, ou encore ? On nous donne la preuve par neuf que la Planète ne pourra pas nourrir 9 milliards de Terriens en 2050 ou 17 milliards en 2100, mais en cyniques populationnistes nous voulons continuer à nous multiplier pour atteindre ces 9 ou 17 milliards de Terriens en 2050 et en 2100 ! Et l'on s'inquiète même des nations qui, en Europe, ne montrent plus la même ardeur à procréer !
[...] C'est aussi dans cet égoïsme écologique, dans cette couverture outrancièrement tirée à nous, que réside l'une des raisons majeures du grand déclin annoncé. Malheur à ceux qui ne savent pas partager ! Parce qu'on le sait maintenant, il sera inutile de patienter 4 milliards d'années pour que le soleil dysfonctionne. D'ici là, l'homme n'aura pas été remplacé par un surhomme mais par une mouche. Ou bien la vie en tant que telle aura fatalement disparu du fait de nos géniales erreurs.
Nous souffrons d'un manque incurable de discernement écologique et nous voulons satisfaire des exigences anthropocentristes immodérées. [...] Même le contrôle des naissances n'avait été pensé que dans l'intérêt du genre humain et non de celui légitime de la Planète et des espèces compagnes. Comme si nous étions déconnectés de la Terre, comme si nous vivions sur une île ou un archipel, ou mieux dit dans une arène, sur un ring ou sur un nuage. C'est un truisme que d'énoncer que la Terre n'est pas extensible. Le surpeuplement humain est un vrai calvaire pour la planète. L'avenir ne nous commande plus l'expansion, mais la récession sous forme de décroissance natale (et économique !).
[...] Posséder une famille nombreuse est un délit environnemental, une grave atteinte à la Planète et à l'avenir commun. [...]
La société occidentale consomme à l'excès des ressources naturelles dont elle n'est pas détentrice et qu'elle extorque aux nations qu'elle domine tyranniquement. [...] Contrairement à une vue trop hâtive de la situation planétaire, un enfant de plus à Londres, Mexico ou Hong Kong sera un moindre préjudice qu'un début de surpeuplement et d'inquisition humaine d'une Tasmanie ou d'une Papouasie. Restons absents ou absentons-nous de la Patagonie, du bassin du Congo, de la forêt boréale et de bien d'autres paradis encore sauvages et de riche naturalité, heureusement souvent peu hospitaliers pour l'homme. Ménageons les beaux restes du grand catalogue du Vivant, épargnons les ultimes réservoirs de gènes, les chambres fortes de biomasse et de stocks de carbone, mettons les prédateurs envahissants que nous sommes hors d'état de nuire et d'occire les derniers poumons de cette Terre. [...]
Les écologistes, désespérés par l'épuisement des ressources et le déclin des écosystèmes, font remarquer qu'il nous faudra deux planètes pour survivre. Dans un autre domaine, ces deux planètes existent déjà, tout le monde sait bien qu'il y a une planète des riches et une autre des pauvres. La première, usurpée, n'est pas pour nous déplaire… Un milliard de riches occupe l'Amérique du Nord, l'Europe, l'Australie, le Japon et un club très privé de privilégiés qui règnent tyranniquement sur les pays du Tiers-monde. [...]
La reproduction est un phénomène naturel à toutes les espèces, et notamment chez celles opportunistes qui s'imposent majoritairement, s'accaparant le moindre atout pour dominer l'habitat. Cela existe chez les rats, les cafards, les mouches ou les papillons. L'homme, dont l'instinct est fondu à la conscience, primate calculateur par excellence, a conceptualisé cette tendance naturelle afin d'en tirer une stratégie d'avenir tribal, familial, nombriliste et longévive : celle d'assurer sa descendance, et par là même la sécurité de ses vieux jours. [...]
Imaginons un autre monde... Le même mais inversé, où nous ne serions plus dominants mais dominés par une autre espèce de grande taille, où nous devrions fuir, nous cacher, ne plus respirer quand l'autre se manifeste, où l'éviction au mieux, l'extinction au pire seraient nos seules issues. Un enfer. Le bonobo, l'orang-outang ou le gorille, l'un d'eux comme espèce invasive et de fourvoiement au sein d'une société humaine d'un effectif modeste, ça vous irait ? [...]
« Plutôt crever que partager ! » La survie de l'humanité dépend du possible, et non de l'impossible. L'impossible, c'est une meilleure gestion et répartition des ressources. On a tout essayé depuis des lustres et même la morale égalitaire professée par les grands Livres n'a pas donné les résultats escomptés. Notre espèce génétiquement égoïste ne voit pas très loin. [...] Il y aura une césure nette et croissante entre un Monde développé sans enfants et un mode sous-développé absolument démuni pour nourrir et même rafraîchir toutes ses bouches. Le possible pour cultiver les futurs, c'est d'encourager une mondialisation de la dénatalité. Certains individus devront abandonner une partie de leurs libertés, dont celle de procréer à tout va, au bénéfice de la société universelle. L'éternité de la drôle d'espèce humaine passe par sa décroissance démographique. On passe ou on casse…"
Pour le texte en entier, c'est ici.
Samedi 12 janvier 2008 à 22:30
Un mois après, la photo preuve promise (faut être patient avec moi...)
Pas grand chose de bien intéressant à raconter, je me demande si ça va pas bientôt être bientôt la fin d'ici. La fin d'ici en même temps que la fin de ma vie étudiante... Plus que deux petites semaines de cours et je m'en vais en stage pour 8 mois. Je vais enfin bouger de chez moi, j'en avais besoin (y'a-t-il des clermontois(e)s dans le coin d'ailleurs?). ça va faire vide à la maison avec deux en moins d'un coup! C'est à tite soeurette que ça va faire bizarre...
C'est fou comme 5 ans ça passe vite...
Lundi 10 décembre 2007 à 19:43
De retour à Paris (sous la pluie youpi) après un bon bol d'air (c'est le moins qu'on puisse dire...). Peut-être bientôt quelques photos pour vous montrer que oui il peut faire très beau en Bretagne nord au mois de décembre. En attendant le tourteau vous salue bien.
Vendredi 23 novembre 2007 à 19:27
Pars dimanche à Roscoff (en Bretagne spèce d'incultes) pour 2 semaines. Non non pas en vacances, j'aurais cours là-bas (l'avantage de faire de l'écologie). Donc je serai absente ici pendant ce temps, en même temps vu la fréquence de mes articles en temps normal ça changera pas grand chose...
Et ça va être cool parce que 1/ Je le sais j'y suis déjà allé l'année dernière, 2/ Deux semaines sans mes parents sur le dos c'est toujours bon à prendre (et puis toutes manières là-bas ça capte presque pas, c'est con hein...en fait si mais faut pas le dire), 3/ ça fait du bien de quitter Paris de temps en temps, 4/ en plus ya la mer (pour un cours sur les milieux marins c'est plus pratique), 5/ c'est en Bretagne (bah oui c'est une raison à elle toute seule)
Photo: plage aux environs de Roscoff- Avril 2007
Lundi 19 novembre 2007 à 11:36
Aujourd'hui c'est culturation.
Vous voyez cette petite bête là (un cercope pour être exacte) >>
Elle fait pas plus d'1cm de long, et elle peut sauter jusqu'à 70cm de haut (2 fois plus haut que la puce). Bon évidemment comme ça ça à l'air de rien mais pour comparer ça équivaut pour un homme à atteindre le 42ème étage d'un immeuble (non non ce n'est pas moi qui ai fait le calcul), là ça en jette un peu plus nan?
Moi la nature ça m'émerveillera toujours.
Samedi 17 novembre 2007 à 22:43
Un petit billet pour vous conseiller un film vu l'autre jour: Les promesses de l'ombre. Que je déconseille aux âmes trop sensibles pour les quelques scènes...lègèrement sanguinolentes diront nous... Mais ça n'enlève rien à la force du film bien au contraire. Alors pour les acteurs (Viggoooooooooooo), pour le scénario, pour le suspense, pour tout en fait, je vos invite vivement à aller le voir
Un petit seulement: l'avoir vu en VF (merci les grèves de la RATP qui empêchent d'aller sur Paris), parce que l'accent russe est un peu trop éxagéré à mon avis, ça en devient même un peu caricatural à certains moments, il me semble que dans la version originale c'est pas aussi forçé, mais peut-être me trompe-je (genre j'emploie des formules grammaticales supers élaborées...)
Pour jeter un coup d'oeil sur la bande annonce c'est par là.
Vendredi 9 novembre 2007 à 19:12
De retour d'un weekend aux Pays-Bas; même que le vélib à Paris c'est rien par rapport à la masse de gens montés sur 2 roues qui y a là-bas, tu fais pas 2 mètres sans croiser un vélo, c'est simple là-bas tu risques plus de te faire écraser par un vélo que par une voiture (remarque ça fait moins de dégâts aussi...). Ce qui est marrant c'est tous les aménagements qu'ils font sur leur bicyclette, y'en a même avec d'énormes paniers devant pour transporter tous ses gosses...
Une petite photo d'Amsterdam quand même, parce que y'a pas que les vélos.
Vendredi 19 octobre 2007 à 17:30
Genre la Ratp elle croit que j'ai toute ma journée à perdre dans les transports. La prochaine fois je joue pas ma warrior à essayer d'aller en cours un jour de grève. Que je vous raconte un peu quand même. Bon déjà pas de RER, ça je le savais, j'avais prévu de prendre le bus (enfin 3 bus pour être précise), vu qu'apparemment aujourd'hui ça avait un peu près repris. Alors je vais à mon arrêt, plein de monde attend, rien de surprenant, je m'en doutais, je m'attendais pas à avoir un bus toutes les 5 minutes. Mais quand je vois des gens faire du stop j'me dis que là doit vraiment pas en avoir beaucoup (des bus pas des voitures, parce que des voitures ça yen avaient...). Je vois 3 madames monter dans une voiture qui voulait bien les prendre, il reste une place dedans, ni une ni deux je saute sur l'occasion, ça tombe bien le gentil monsieur va dans la bonne direction, il nous déposera à la première station de métro. Le problème que j'avais oublié c'est que des voitures yen avaient beaucoup donc, comme j'ai dit, trop même, beaucoup trop même. Résultat: 1h30 pour faire 10km. Le sur place commence un peu à saouler tout le monde alors on décide de bifurquer un peu et d'aller chercher un autre métro. Le temps de se perdre un peu sinon c'est pas marrant et de retomber dans d'autres bouchons, il s'est encore passé une bonne demi-heure, mais on arrive finalement à la gare. Le truc, c'est qu'entre temps, une copine qui elle à réussi à arriver à destination en moins de 2h (un exploit quoi) m'annonce que le cours est finalement annulé, le prof a pas pu venir...Alors là moi je dis non, moi je me casse le cul à essayer d'aller en cours, je brave la grève, les bouchons, et le prof "peut" pas venir. Et bah il avait qu'à camper sur place, prendre le vélib, sa trottinette, ses patins à roulette, faire du covoiturage, , mais au moins il essaye.
Bref, l'histoire s'arrête pas là parce qu'il fallait encore que je rentre chez moi maintenant. Surtout que j'avais atterri je sais pas où, en tous cas je connaissais pas. Me reste encore à trouver un bus qui se rapproche un peu de chez moi, à en changer et attendre presque 1/2 heure celui qui va vraiment chez moi, plus qu'un peu de marche à pied et enfin...ah tiens, il est midi 20.
Plus de 4h à faire un petit aller retour pour rien...la Ratp est mon ami...